Mes premières semaines (mois) de photographe se passent bien, et je suis très contente de ma décision et de la tournure que prend ce joli projet. J’adore ma nouvelle vie, et le rythme un peu dingue qui va avec. J’aime aussi les séjours entre Paris et Lyon, et rentrer ensuite chez moi, et poser mes valises quelques jours.

J’avais un peu peur de ce qui allait se passer, et je suis rassurée de voir que ça se passe bien, et même mieux que ce que j’avais envisagé.

Je dois aussi avouer que tenir le rythme est parfois difficile. On m’avait prévenu que gérer son temps est la plus grande difficulté de la vie d’indépendante. Et c’est vrai! Le plus compliqué est de savoir s’arrêter. Me dire que j’ai le droit de prendre un jour off, et que me reposer et faire autre chose, c’est aussi important pour ma santé et pour être en forme pour les prestations à venir.

Alors je me dis que je peux prendre une pause. Que la plupart des gens ont des week-ends, que travailler 7 jour sur 7 n’est pas viable sur le long terme. Et je respire. Parfois, j’arrive à ne pas penser à mon travail pendant une heure entière, et c’est déjà beaucoup!

En attendant d’arriver à organiser vraiment mes journées et mon temps, je profite des bonheurs de cette activité toute neuve, que j’ai créée (presque) toute seule, et qui vit grâce à vous. Je souris quand je reçois un mail me demandant des informations sur mon travail, je souris quand je reçois vos messages demandant si vos photos sont prêtes, et souvent je pleure en même temps que je souris quand je reçois vos mots gentils de clients contents. Je souris beaucoup depuis le 1er mars, et ça fait un bien fou.

 

Et pour s’évader quelques instants, je partage avec vous des images d’un séjour en Aveyron en avril, entre deux reportages. Une pause, un moment suspendu, un vrai bonheur et beaucoup de sourires 🙂

 

 

 

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